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Quand l’inconscient se manifeste…

Aujourd’hui pour aborder de façon plus théorique le sujet « Quand l’inconscient se manifeste… » je m’en suis référée au « Décodage Biologique », outil complémentaire d’accompagnement, permettant de faire le lien entre des maux physiques et des évènements traumatisants vécus. 

Il ne s’agit pas d’une approche médicale, mais bien d’un complément dont l’objectif est la prise de conscience des liens étroits entre nos ressentis et les manifestations conscience des liens étroits entre nos ressentis et les manifestations corporelles.

Vous en avez un aperçu pratique dans mon article « Quels liens entre les émotions et la santé physique?« , si ce n’est pas fait, n’hésitez pas à le lire.

Christian Flèche, psycho-bio-thérapeute, a créé le décodage biologique de la maladie et dit :

• • • • • • • • « La maladie est un livre ouvert sur notre inconscient. »

Nous avons un esprit, un corps, une vie, sans avoir besoin de faire ou d’avoir fait quoi que ce soit.  C’est fait. Tout est là !

Mais c’est à nous de faire en sorte que cet esprit, ce corps, cette vie soient le plus sain possible.

L’apparition d’un symptôme, d’une maladie, est en lien avec une émotion refoulée, une signification associée à un événement senti comme désagréable, le bio choc

Donc quand nous avons un problème, une souffrance, une limite, c’est que quelque chose de non conscient se manifeste en nous.

Hippocrate lui-même a affirmé : « le corps c’est une maladie pour se guérir ». Mais se guérir de quoi ?

• • • • • de quelque chose de pire que la maladie forcément sinon cela serait d’une perversité cruelle,
        • de quelque chose que nous n’avons pas en conscience,
        • de quelque chose dans la maladie qui serait comme la solution, l’issue de secours

Nous n’utilisons pas l’entier des capacités de nos organes, de notre corps, pourquoi ?

Peut-être justement pour ce moment d’urgence, de vital… par exemple, en temps normal nous utilisons au maximum la moitié de notre capacité respiratoire…mais quand il nous faut courir devant un danger, nous allons utiliser la totalité de notre capacité pulmonaire.

Soigner une maladie c’est soigner :

• • • • • • • • • • • • le malade,
                      • son histoire,
                      • ses émotions,
                      • ces croyances,
                      • ces identifications,
                      • c’est amener en pleine lumière ce qui a créé la maladie et qui cherche la guérison

Ainsi guérir le corps est plus que guérir le corps c’est guérir ce qu’il y a derrière – c’est se réveiller !

• • • • • • • • Il y a le malade qui, s’oubliant lui-même, se néglige.
              • Il y a le malade égocentrique qui, ramenant tout à lui, fait fuir son entourage, lassé de la place si importante qu’occupe sa personne dans leur relation.

Ils ont à transformer leurs relations, afin de découvrir le nouveau soi-même à l’intérieur comme à l’extérieur de soi.

Notre esprit à travers notre corps va chercher des solutions d’adaptation parfaite et biologique.

Pour illustrer cette phrase voici un exemple concret :

Une femme qui fabriquait des anticorps anti plaquettes, c’est à dire qu’elle détruisait les substances qui permettaient à son sang de coaguler, les plaquettes sanguines. Heureusement les médecins l’ont soignée comme il se doit.

• • • • • Pourtant elle a voulu comprendre et elle est venue s’écouter à travers l’oreille d’un thérapeute en décodage biologique. 
        • Enfant, elle a vécu l’accident vasculaire cérébral de son père à cause d’un caillot dans le cerveau. Elle a vécu avec un père hémiplégique à cause du sang agglutiné dans son cerveau.
        • Sa solution d’adaptation parfaite et biologique est de fabriquer des anticorps qui détruisent les caillots. 
        • Rationnellement il est difficile d’entendre cette logique mentale car son père est mort depuis longtemps.
        • Mais l’émotion est toujours là, chez cette femme, quand elle repense à l’annonce par le médecin qu’il y a un caillot de sang dans le cerveau de son père.

 Pour éviter que l’inconscient ne refasse le même schéma encore une fois, il convient de rencontrer le malade, la maladie et l’origine de la maladie dans cette logique là, irrationnelle.

Le conseil du mois

1/ se remettre en mouvement car tout problème est de l’inertie le temps s’est arrêté

2/ changer le support de l’expérience car le problème n’est pas le problème mais son support

3/ changer l’angle de perception car le problème est l’observateur non le perçu.

 

Ch. Flèche